De combien de softs le mythique shooter Galaga est-il l’inspirateur ? Un chiffre difficilement évaluable mais force est de reconnaitre que ces clones sont vraiment nombreux et sur un nombre de supports incalculables. Avec cette intro il en devient facile de déduire que ce titre sur St fait partie de cette longue lignée !

Bon clairement je ne vais pas revenir sur le gameplay archi vu et revu d’un Galaga… Mais je vais juste m’étendre à voir ce qui le démarque positivement ou négativement de son modèle. Bon clairement le visuel dépouillé ne plaide pas en sa faveur et sa date de commercialisation (1988) ne peut servir de prétexte pour justifier ce minimum.

Fireblaster se rattrape par sa nervosité tant dans le maniement de votre vaisseau que des tirs ennemis. Le tout bouge très bien et même trop vite car les boulettes fusent à vitesse grand V.
Ardus à anticiper les ennemis effectuent des vagues assez surprenantes et souvent le crash est assuré. Leurs trajectoires assez imprévisibles rend leur apprentissage indispensable pour espérer progresser. Donc le jeu est extrêmement difficile et votre patience devra être infinie pour terrasser l’avalanche des vagues ennemies.

Malheureusement rien de plus n’est à ajouter et cette critique va connaître cette conclusion assez abrupte. Fireblaster n’apporte rien de spécial et sa replay value est aujourd’hui nulle. Un clone de plus quoi…